par Thomas Tisserand, aide conseiller
De la bière consommée par les Natoufiens il y a 13 000 ans à la « plante de la joie » que cultivaient les Sumériens quelques millénaires plus tard, en passant par les ingestions rituelles d’hallucinogènes naturels, des paradis artificiels baudelairiens et des fins tragiques du « club des 27 », nul ne peut ignorer le penchant qu’entretient depuis toujours sapiens pour les psychotropes. Toutefois, si la consommation de ces derniers s’avère plus souvent bénigne que maligne, les données montrent bien le sérieux des conséquences qu’ils peuvent entraîner, notamment l’addiction, problème sur lequel s’est penché … Lire la suite